ARBAUMONT (d’), Maxime (Père)
Né en 1939 à Chartres, Maxime d’Arbaumont est élevé dans une famille aimante. Il épouse Françoise en 1963, avec qui il aura une fille, MarieClotilde, qui lui donnera, avec Christophe, 4 petits-enfants. Sa femme décède en 1984 d’un cancer des ovaires. Après une carrière de 26 ans dans l’automobile, il entre au séminaire de Paris. Ordonné en 1995, il exerce plusieurs ministères : chapelain à la basilique de Montmartre, curé, prêtre-exorciste (2007-2014), supérieur de la Maison MarieThérèse et depuis 2018, vicaire à la paroisse Sainte Marie des Batignolles et prêtre de l’abbaye Notre Dame de l’Ouÿe.
De naissance en renaissance
Le père Max naît en 1939 à l’ombre de la cathédrale de Chartres, dans une famille aimante et pieuse. Petit dernier de sa “sainte maman”, il vit une enfance heureuse jusqu’au drame de la mort de son frère aîné à 22 ans, alors qu’il n’a que 14 ans. A 24 ans, il épouse Françoise et entame une carrière dans l’automobile (qui durera 26 ans). Leur fille Marie-Clotilde naît en 1965. Après la terrible épreuve de la maladie et de la mort de son épouse en 1984, il vit une véritable “renaissance” en entrant au séminaire de Paris pour être ordonné prêtre en 1995. Beaucoup de citations ponctuent le récit, ainsi que des réflexions spirituelles sur la liberté, le combat spirituel, l’humilité, la miséricorde, la prière, la sainteté, l’eucharistie et surtout la joie, qui est le fil rouge de ce texte. Quatre grandes figures chrétiennes l’inspirent et nous guident : Maurice Zundel, Madeleine Delbrêl, le père Ceyrac et Édith Stein.
Sainte Thérèse de Lisieux, Saint François de Sales, Saint Jean-Marie Vianney sont aussi très présents.